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La succession d’attaques qui culminèrent en 391 dans la destruction du Sérapéum, d’où ce buste provient, commença lorsque des chrétiens érigèrent une église sur un site abandonné. Selon Tyrannius Rufinus, théologien et moine, des ouvriers y mirent au jour les vestiges de grottes et d’objets rituels en lien avec le culte de Mithra. Les païens furent outrés par le traitement irrespectueux que ces derniers réservèrent aux artefacts, ce qui donna lieu à une confrontation lors de laquelle plusieurs personnes trouvèrent la mort. Les polythéistes trouvèrent refuge au Sérapéum et, pour prévenir toute escalade de la violence, les autorités firent preuve de clémence envers les deux camps. Mais les chrétiens lancèrent un assaut sur le temple lors duquel ils décapitèrent, détruisirent et brûlèrent la statue.
Buste en bronze à l’effigie de Marcus Porcius Caton datant du 1er siècle de notre ère.
Ce tableau du 19e siècle réalisé par l’artiste italien Francesco Coghetti dépeint les évènements qui suivirent le suicide de Lucrèce dans sa villa de Collatie, tels que décrits par Tite-Live dans le chapitre 58 du livre 1 de son Histoire romaine : « Ils transportent sur la place publique le corps de Lucrèce, et ce spectacle extraordinaire excite, comme ils s'y attendaient, une horreur universelle. Le peuple maudit l'exécrable violence de Sextus; il est ému par la douleur du père, par Brutus, lequel, condamnant ces larmes et ces plaintes inutiles, propose le seul avis digne d'être entendu par des hommes, par des Romains, celui de prendre les armes contre des princes qui les traitent en ennemis. Les plus braves se présentent spontanément tout armés; le reste suit bientôt leur exemple…Et ils se mettent en marche vers Rome sur les pas de Brutus ».
À l'époque de Jésus, l'accouchement constituait une entreprise risquée, mais les sages-femmes, comme celles représentées sur ce relief antique de Rome, apportaient une aide qui est toujours prodiguée aujourd'hui.
La Cène représentée sur une miniature du 13e siècle d’un manuscrit français sur les grandes fêtes chrétiennes.
Relief représentant une trirème, vaisseau propulsé par trois rangs de rames et navire de choix pour les naumachies romaines.
L’impératrice Charlotte, peinte en 1865 par Albert Gräfle, s’intéressait de près à l’amélioration des conditions de travail dans l’agriculture et aux affaires autochtones. Elle estimait que l’insuccès des nombreux gouvernements des décennies précédentes était lié au fait qu’ils « [n’avaient] jamais eu de racines dans la population indigène, qui est la seule à fonctionner et à permettre à l’État de vivre ». Sa connaissance de la culture locale s’étendait aux dîners et aux galas, lors desquels elle servait au moins un ou deux plats nationaux. Elle connaissait également les différences régionales en matière de nourriture, bien que les chefs européens aient eu du mal à s’adapter à ses préférences.
Sur cette pièce en or à l’effigie de Valentinien III, l’empereur écrase un serpent à tête humaine. Bon nombre de citoyens de Rome devaient voir en ce serpent une représentation de l’ennemi de l’empire : Attila.
Carte de l’ancienne cite de Nippur, créée vers 1500 av. J.-C.
Statue en diorite à l’effigie du pharaon Khéphren, protégé par le dieu faucon Horus.