Sommaire du magazine National Geographic d’avril 2020 : Comment nous avons sauvé (ou tué) la planète

En 2070, l’humanité aura-t-elle su prendre le tournant de la sagesse ou aura-t-elle accéléré la fin de ce monde ?

De Rédaction National Geographic
Publication 26 mars 2020, 12:34 CET
National Geographic Avril 2020
National Geographic Avril 2020

En avril, le magazine National Geographic vous propose une édition spéciale dédiée au cinquantième anniversaire de la Journée de la Terre, avec deux couvertures présentant, pour chacune d’elles, un scénario différent sur le devenir de notre planète. L’un, pessimiste, suppose que, dans 50 ans, les activités anthropiques auront tout dévasté. Les côtes et les principaux atolls auront disparu à la suite de la montée des eaux, le climat sera totalement déréglé, jetant des populations sur les routes. L’autre scenario, optimiste, gage, au contraire, qu’en 2070, l’humanité aura su sauver la terre de la dévastation. Comment ? En mettant la technologie au service de chacun, pour permettre à la fois de nourrir une population plus vaste, de fournir de l’énergie principalement renouvelable à tout un chacun et de préserver la diversité des espèces. A nous de choisir…

National Geographic Avril 2020
National Geographic Avril 2020

En 1970, une poignée de visionnaires ont lancé la Journée de la Terre pour alerter leurs colocataires sur la planète. Le but ? Que chacun mette tout en œuvre pour la sauver. Pour célébrer cette initiative, dont la cinquantième édition aura lieu le 22 avril 2020, nous vous proposons un road trip à travers les Etats-Unis, sur la piste d’idées nouvelles qui nous montrent la voie d’un avenir durable. Cap notamment sur le désert de Mojave, en Californie, où de spectaculaires champs d’éoliennes et de panneaux solaires alimentent déjà des millions de foyers en électricité. Preuve que les énergies renouvelables gagnent du terrain. Celles-ci pourraient ainsi commencer à éclipser les autres sources d’électricité, aux Etats-Unis, d’ici à 2045.

Découvrez aussi le portrait de douze jeunes, garçons et filles, à travers le monde, qui s’engagent contre le changement climatique et tentent de convaincre les adultes de prendre des mesures significatives.

Hausses des températures, sécheresses, montée des eaux, migrations climatiques… A quoi ressemblera le quotidien de notre planète si nous n’arrivons pas à baisser nos émissions de carbone ? Nous vous proposons une sélection de cartes prévisionnelles pour vous éclairer. A titre d’exemple, d’ici à 2070, le climat de Phoenix (Arizona), déjà torride, ressemblera à celui que connaît de nos jours Chowki Jamali, au Baloutchistan, une province désertique du Pakistan.

Enfin, retrouvez notre reportage sur un mal de notre temps : la solastalgie. Synonyme d’éco-anxiété, cette mélancolie suscitée par les changements de notre environnement et comparable au mal du pays, touchent de plus en plus de monde.  

Enquêtes inédites et actualités scientifiques vous attendent dans le numéro d’avril 2020 du magazine National Geographic :

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    En route pour 2070.
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    Nos reporters ont traversé les États-Unis en voiture électrique pour enquêter sur notre avenir énergétique. À chaque étape, ils ont trouvé des réponses inédites à une question urgente : quand serons-nous prêts à renoncer aux combustibles fossiles ?

    Les jeunes en lutte pour l'avenir.
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    Face au chaos du dérèglement climatique, la suédoise Greta Thunberg n’est pas la seule à tirer la sonnette d’alarme. Severn Cullis-Suzuki au Canada, Ghislain Irakoze au Rwanda, Mayumi Sato au Japon… Âgés pour la plupart de moins de 25 ans, ces jeunes agissent et exigent davantage que leurs aînés.

    Le monde en 2070.
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    Selon le pire des scénarios, si nos émissions de carbone continuent d’augmenter, le réchauffement pourrait dépasser les 3 °C en 2070 par rapport à l’ère préindustrielle. À quel climat les villes du monde seront-elles confrontées dans cinquante ans ? Quatre cartes pour mieux comprendre.

    Un monde perdu.
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    Le terme solastalgie a été inventé, au début des années 2000, par le professeur d’études environnementales Glenn Albrecht, qui s’intéressait à l’époque aux conséquences émotionnelles de l’exploitation minière sur les communautés locales. Le mot s’est répandu via Internet pour décrire la perte de quelque chose que l’on aime à cause du changement environnemental.

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