Sommaire du magazine National Geographic de mai 2019 : Léonard de Vinci
Cinq cents ans après sa mort, le génie italien continue de nous inspirer.
En mai, le magazine National Geographic célèbre les cinq cents ans de la disparition de Léonard de Vinci. Inventeur, artiste, anatomiste, cartographe… Qui mieux que lui incarne le génie complet de la Renaissance ?
Le 2 mai 1519, Léonard de Vinci disparaissait au Clos Lucé, un modeste château situé près d’Amboise (Indre-et-Loire), offert par le roi François Ier. Il avait 67 ans et avait accompli une œuvre monumentale : de multiples tableaux, des croquis et études scientifiques ou encore des trésors d'ingénierie. Le lieu porte le souvenir d’un homme obsédé par la connaissance et le travail jusqu’à la fin de sa vie. Les carnets retrouvés sur le site sont si riches que les chercheurs n’en finissent pas de redécouvrir l’ampleur de son héritage.
Découvrez aussi notre sujet sur les smokejumpers, des pompiers parachutistes entraînés pour intervenir sur les feux de forêt des zones reculées de l’Alaska (États-Unis). Nous nous rendons également dans le parc de Gorongosa, au Mozambique. Après quinze années de guerre civile (1977-1992) et malgré les récentes inondations, la faune de la réserve retrouve peu à peu sa richesse grâce au travail des scientifiques. Enfin, enquête au cœur de l’océan, où la pollution par les microplastiques a des répercussions sur la santé des poissons, particulièrement sur celle des juvéniles.
Enquêtes inédites et actualités scientifiques vous attendent dans le numéro de mai 2019 du magazine National Geographic :
Cinq cents ans après la mort de l’artiste, la créativité et l’intuition de Léonard de Vinci nous fascinent toujours et continuent d’influencer les travaux actuels dans le domaine des sciences, des arts et des techniques.
Largués au cœur du brasier, des pompiers d’élite sautent en parachute dans des forêts d’Alaska pour empêcher les petits incendies de prendre de l’ampleur.
Au Mozambique, le parc de Gorongosa, autrefois petit paradis de biodiversité, se relève progressivement de la guerre civile. Mais certaines espèces de prédateurs, comme les lycaons, y ont quasiment disparu.
Chaque année, plus de 9 millions de tonnes de déchets en plastique finissent dans les océans. La majeure partie se décompose en fragments à peine visibles – des microplastiques si nombreux que les alevins en avalent dès les premiers jours de leur vie.