Sommaire du magazine National Geographic d'octobre 2017 : Dubai
Dans le numéro d’octobre du magazine National Geographic, découvrez le Dubai de demain. Fini les constructions extravagantes et le gaspillage énergétique : la célèbre agglomération des Émirats arabes unis se préoccupe désormais du sort de la planète. Et pour entamer sa mue, la mégalopole se lance dans la construction de quartiers « zéro énergie », d’une immense centrale solaire ou encore de transports publics automatisés. Un virage écologique qu’elle aborde avec la même frénésie qui l’a autrefois faite naître du désert. L’objectif ambitieux de l’Émirat de Dubai : afficher la plus faible empreinte carbone de la planète d’ici à 2050. (Lire ici)
Partons ensuite en Afrique du Sud et en Namibie. Dans ces pays, certains touristes prétendent défendre la cause animale en chassant dans les réserves, moyennant d’importantes sommes d’argent. Les fonds ainsi récoltés seraient reversés aux habitants de ces zones. Mais ce modèle de protection peine à convaincre les scientifiques et les écologistes. (Lire ici)
Marchez avec nous sur les pas d’une (vraie) militante de la condition animale : Jane Goodall. La primatologue anglaise a révolutionné, dans les années 1960, notre regard et nos connaissances sur les singes, en observant notamment l’utilisation d’outils chez les chimpanzés. Nous avons retrouvé les premières photographies saisies pour la National Geographic Society, qui a financé ses travaux initiaux en Tanzanie. Pour lancer sa carrière, la chercheuse a dû accepter d’être sous l’œil des caméras. Quitte à se faire immortaliser en se lavant les cheveux et à rendre publique son histoire d’amour avec Hugo van Lawick, le photographe envoyé par l’organisation pour couvrir ses recherches ! (Lire ici)
Éclairage sur un autre moment d’intimité : saviez-vous que près de 1 milliard de personnes n’ont pas de W-C ? L’absence de sanitaires expose les enfants aux infections, causant malnutrition et retard de croissance. Le gouvernent indien a fait de la lutte contre ce fléau sanitaire une priorité absolue. Mais il se confronte à un problème d’ordre culturel : faire ses besoins dans la nature est profondément ancré dans les habitudes des Indiens. (Lire ici)
Découvrez enfin la triste histoire des Rohingyas. La minorité musulmane du Myanmar (ex-Birmanie), toujours victime de violences comme le montre l’actualité, est maltraitée par la majorité bouddhiste depuis son arrivée dans le pays, au 19 ème siècle. En 1982, la junte militaire est allée jusqu’à retirer la nationalité birmane aux membres de ce peuple, les contraignant à une clandestinité permanente. (Lire ici)
Un programme riche en découvertes vous attend dans le numéro d’octobre du magazine National Geographic :
Fini les pistes de ski, les îles artificielles ou autres édifices extravagants : Dubai souhaite devenir la ville la plus durable du monde.
En Afrique, des touristes payent les habitants de certaines réserves pour chasser en toute légalité des espèces menacées. L’argent récolté est censé servir la cause animal.
Comment Jane Goodall, la pionnière de la primatologie moderne, a accepté de faire de sa vie un roman-photo pour financer ses recherches sur les chimpanzés.
Histoire du martyre des Rohingyas. Au Myanmar, la minorité musulmane, privée de ses droits depuis 1982, est contrainte à l’exil.
Construire des sanitaires est un enjeu majeur de santé publique dans les pays en développement. Mais, en Inde, les habitudes ont la vie dure.
Ce travail photographique sur des enfants vivant dans un logement social de Manille témoigne qu’un habitat précaire ne saurait réfréner l’enthousiasme et l’insouciance des plus jeunes.