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Cette illustration de 1697, tirée du Physica Curiosa de Gaspar Schott, représente un monstre ressemblant au diable de Jersey.
Copie d’une peinture de 1887 réalisée par Ulpiano Checa, montrant les Huns approcher de Rome au milieu du 5e siècle. Musée du Prado, Madrid.
Les récoltes issues de l’agriculture romaine dépendaient d’une population en bonne santé et reposaient sur la stabilité du climat. Cette mosaïque du 2e siècle découverte dans une villa romaine à Cherchell, en Algérie, montre les phases de semaison et de labour. Elle fait partie d’un plus grand thème sur l’abondance. Musée national public de Cherchell.
Cette tablette gravée de Babylone montre des dieux et des fidèles déposant des offrandes. 18e siècle av. J.‑C., conservée au musée du Louvre, à Paris.
Un plaidant supplie le roi Hammurabi de Babylone, assis sur son trône sur cette illustration du 20e siècle par Robert Thom.
Ce jeu de domino adapté appartenait à Braille. Il était le seul élève aveugle de son école, à sept ans.
Les changements d’attitudes avant la naissance de Louis Braille ont aidé à poser un cadre de bienveillance. La Lettre sur les aveugles à l’usage de ceux qui voient, écrite par Denis Diderot en 1749 avançait que les aveugles avaient les mêmes capacités intellectuelles que les personnes voyantes. À la fin du 18e siècle, des écoles pour les aveugles ont ouvert en France et en Angleterre mais le système d'écriture de Braille leur a permis d’interagir avec les textes et les partitions. Louis Braille, que l’on voit ici sur une carte collector des années 1920, était motivé par l'affection qu'il vouait à la communauté malvoyante. Une gentillesse et une grâce qui se ressentaient dans ses lettres. Son testament était le miroir de se générosité ; il y faisait des dons à tous, jusqu’au gardien de nuit, et ordonnait d’effacer les dettes que certains avaient envers lui.
Sur la partie supérieure du mur se trouve une représentation de la momie de Néfertari, qui gît inerte sur un lit aux pieds de lion. Son visage est celui du dieu Osiris, souverain du monde souterrain. Néfertari est gardée par de puissantes déesses : Isis, à droite, la femme d’Osiris, et Nephtys, à gauche, sa sœur. Toutes deux sont représentées sous forme de milans, des rapaces associés à la résurrection.
Néfertari joue une partie de senet, assise dans une cabine faite de roseaux tressés entre eux aux coins. Comme il est de coutume dans les peintures funéraires, son adversaire n’est pas représenté. Devant sa cabine se trouve le ba de Néfertari, une créature au corps d’oiseau et arborant le visage de la reine. Le fond de la cabine et du cartouche sont jaunes, un symbole d’immortalité et couleur du disque solaire.
Néfertari, tenant un sceptre sekhem, consacre les offrandes qu’elle présente à Osiris, à gauche, et à Atoum, le soleil du soir, à droite.