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Page du photographe
Manu San Félix
Les Îles Salomon se trouvent dans une région de l’océan Pacifique que l’on appelle le Triangle de corail en raison de son étourdissante diversité corallienne. De nombreux coraux du monde entier sont aujourd’hui confrontés à des menaces dues au réchauffement et à l’acidification des océans, mais celui-ci se trouve dans une poche d’eau profonde et froide qui la protège possiblement de ces changements.
Les colonies de Pavona clavus ont généralement une forme de dôme ou de boule de glace. Mais cette colonie est plate et s’étire sur une longue distance. Étant donnée sa hauteur (4,9 mètres), les scientifiques pensent que le corail est vieux de 300 ans environ.
De minuscules polypes coralliens se forment sur les colonies de corail. Leur nombre peut atteindre plusieurs milliers, mais l’équipe de l’expédition Pristine Seas pense que cette colonie en contient un milliard environ.
Un plongeur de l’expédition se sert d’un mètre ruban pour documenter la taille du corail. Cette espèce de corail (Pavona clavus) est surnommée « corail-omoplate » en raison des bosses qu’elle développe et qui évoquent cet os de l’épaule.
Le corail qui vient d’être découvert mesure trente-quatre mètres par trente-deux. C’est plus que la taille moyenne d’une baleine bleue, le plus grand animal sur Terre. Cette colonie est si grande qu’elle est visible depuis l’espace.
Des plongeurs de l’expédition Pristine Seas de la National Geographic Society mesurent le plus grand spécimen de corail du monde dans les Îles Salomon.
En l’espace de cinq ans, le resplendissant récif corallien autour de l’île Vostok a été gravement mis à mal par la chaleur, avant de prospérer de nouveau. L’épisode El Niño de 2015-2016 y avait tué la plupart des coraux choux-fleurs, mais ces Montipora foliacés ont survécu et ont régénéré le récif.
Un banc de petits poissons de récif.
Des coraux Montipora, tolérants à la chaleur, avec leurs polypes violets.
En l’espace de cinq ans, le resplendissant récif corallien autour de l’île Vostok a été gravement mis à mal par la chaleur, avant de prospérer de nouveau. L’épisode El Niño de 2015-2016 y avait tué la plupart des coraux choux-fleurs, mais ces Montipora foliacés ont survécu et ont régénéré le récif.