Magazines
Télévision
Disney+
National Geographic
National Geographic
National Geographic
Histoire
Animaux
Sciences
Environnement
Voyage® & Aventure
Histoire
Animaux
Sciences
Environnement
Voyage® & Aventure
Page du photographe
Michaela Skovranova
L'après-midi, la lumière se faufile dans le récif Lodestone, sur la Grande Barrière de corail.
Les coraux Acropora de la Grande Barrière de corail se reproduisent en relâchant dans l'eau leur matériel de reproduction quand la lune est pleine.
Le soleil se couche au-dessus de l'Antarctique. Michaela Skovranova espère que ses clichés encourageront les gens à tisser des liens avec l'océan et à ressentir sa présence.
En Australie, les coraux déposent leur frai dans la Grande barrière de corail. « Peu importe où je me trouve dans l'océan, il n'est jamais le même. À chaque plongée, je découvre et apprends de nouvelles choses », déclare Michaela Skovranova.
Un baleineau à bosse s'amuse sous la surface de l'océan aux îles Tonga. Michaela Skovranova photographie surtout les animaux marins à quelques mètres de profondeur, ce qui lui permet prendre ses clichés en plongée libre.
Un bébé baleine à bosse se prélasse dans les eaux des îles Tonga. La photographie sous-marine induit la présence d'éléments organiques sur les clichés, que Michaela Skovranova aime conserver. « Je ne retouche pas les clichés dans un souci de garder tous les éléments qui flottent dans l'océan », confie-t-elle.
Une baleine à bosse et son petit nagent dans les eaux des îles Tonga. Pour plonger avec les baleines aux Tonga, des autorisations spéciales sont nécessaires. Pour éviter les tracas administratifs, la photographe préfère la plongée libre, qui se prête à la perfection à la plupart de ses expéditions.
À l'âge de 13 ans, Michaela Skovranova a quitté l'Australie pour la Slovaquie. Alors qu'elle n'était pas une bonne nageuse et qu'elle avait peur de l'océan, sa curiosité et son appareil l'ont poussée à surmonter ses peurs.
C’est en 2017 que Michaela Skovranova s’est rendue pour la première fois en Antarctique. Malgré une prolifération d’algues limitant la visibilité et rendant difficile la prise de photographies, ce voyage fut tout de même l’un des plus magiques qu’elle ait entrepris. « En Antarctique, il faut s’armer de patience et prendre le temps de le photographier pour lui rendre justice. C’est un endroit très spécial », explique-t-elle.
Une tortue nage dans l’océan. « Ce que je préfère avec la photographie, c’est de me préparer le plus possible et de laisser le reste aux éléments une fois dans l’eau », explique Michaela Skovranova.