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Page du photographe
Tanya Habjouqa
Omar Enouiti, qui se tient ici avec son singe sur la place, a commencé à faire ce travail dans sa jeunesse et estime n'avoir aucune autre perspective d'emploi. Comme beaucoup de dresseurs, Enouiti complète ses revenus grâce à diverses missions en tant qu'indépendant (en transportant les bagages pour des hôtels de la région, par exemple).
Les spectacles de singes doivent susciter l'intérêt des habitants de la région et des étrangers. Les spectateurs peuvent tenir, toucher ou interagir de toute autre manière avec les animaux, et les dresseurs exigent un paiement pour toute photographie réalisée avec leurs animaux.
Shabia est assise sur l'épaule d'Adil Zubari. Les dresseurs comme Zubari affirment entretenir une relation étroite avec leurs singes.
Majid Hamdi déguise son singe dans l'espoir d'obtenir plus de pourboires.
Abdelllatif el Mounahi, dresseur de singes, raconte qu'il a été chassé de la place par ses concurrents et qu'il doit maintenant se battre pour gagner de l'argent aux abords de la zone. Ici, deux de ses quatre enfants lui rendent visite, à lui et son singe, au domicile de sa belle-sœur.
Titi, âgée de 3 ans, dont le nom peut changer en fonction de la personne qui le manipule, attire les clients dans une tenue choisie par son dresseur Abdul Fatah Bahani. Les singes costumés peuvent attirer davantage l'attention, en particulier celle des enfants.
Majid Hamdi est l'un des plus anciens dresseurs de singes de la place. Bien qu'il soit illégal d'élever des macaques en tant qu'animaux de compagnie au Maroc, plus d'une dizaine de dresseurs ont reçu des autorisations exceptionnelles leur permettant de les utiliser comme attractions touristiques.
Abdul Fatah Bahani, en compagnie de son singe, affirme que sa profession est incomprise et injustement dénigrée dans les médias. Selon lui, les animaux sont bien soignés et nourris, et ce même lorsque les dresseurs comme lui ont du mal à nourrir leur propre famille.
À Marrakech, au Maroc, Titi, âgée de 2 ans, est ici présentée par son dresseur, Hassan Ch'heba, quelques mois avant le récent tremblement de terre.
Tanatra discute avec deux de ses fils avant l’iftar, le repas du soir qui permet de rompre le jeûne. Jamal, à gauche, a récemment obtenu la permission de retourner au travail. Il travaille dans une boulangerie où il fait de la kenafeh, une pâtisserie populaire. Il est très enthousiaste à l’idée de gagner de l’argent et d’en économiser pour son mariage, retardé en raison de la pandémie.