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Page du photographe
Tommy Heinrich
Après 29 tentatives, le Nanga Parbat a pu finalement être gravi en hiver grâce à l'union de deux équipes, composées du basque Alex Txikon, du pakistanais Ali Sadpara et des italiens Simone Moro et Tamara Lunger. Le 26 février 2016, tous atteignent le sommet, à l'exception de Tamara Lunger. L'année suivante, l'alpiniste française Elisabeth Revol et le Polonais Tomasz Mackiewicz réalisent la deuxième ascension hivernale, et la première pour une femme, du Nanga Parbat. Alors que Tomasz Mackiewicz meurt lors de la descente, Elisabeth Revol est secourue par des alpinistes polonais qui se trouvaient sur le K2.
Même si les ânes, comme ceux ci-dessus dans le désert du Taklamakan en Chine, ne sont généralement pas connus pour leur vitesse et leur agilité, ils étaient montés pour jouer à l'ancêtre du polo, le ljvu.
Gerlinde Kaltenbrunner prend une pause bien méritée après avoir réussi l’ascension du K2.
Gerlinde Kaltenbrunner escalade une paroi rocheuse glacée du K2.
Gerlinde Kaltenbrunner et Ralf Dujmovits analysent la voie qui mène au Camp IV et à la zone de la mort. À partir de 8 000 mètres d’altitude, il devient particulièrement éprouvant de grimper sans oxygène.
L’équipe de Gerlinde Kaltenbrunner grimpe le K2 en empruntant l’arête située sur le côté chinois. L’ascension de ce sommet est si difficile que la plupart des alpinistes préfèrent s’attaquer au Karakoram, situé au Pakistan. Sur cette photo, l’équipe se déplace ensemble pour acheminer l’équipement jusqu’au sommet du K2, à plus de 8 600 mètres d’altitude.
Un jeune joueur de football s'étire avant de jouer dans la province de Xinjiang, en Chine, en 2011.
La pleine lune illumine le sommet K2.
