Magazines
Télévision
Disney+
National Geographic
National Geographic
National Geographic
Histoire
Animaux
Sciences
Environnement
Voyage® & Aventure
Histoire
Animaux
Sciences
Environnement
Voyage® & Aventure
Page du photographe
Agence Spatiale Européenne
Les candidats astronautes reçoivent une formation photo et média avant leur mission afin d'immortaliser et de communiquer sur leur voyage dans l'espace. Cette formation leur permet d'acquérir des compétences en photographie pour documenter des expériences ou capturer des images époustouflantes de la Terre pendant leur voyage et transmettre l'importance de leur mission au public.
Sophie Adenot a effectué des vols paraboliques répétés à bord de l'Airbus A310 « Zéro G », qui lui ont permis d'expérimenter brièvement la microgravité. Les campagnes de vols paraboliques recréent des conditions d'apesanteur similaires à celles rencontrées dans l'espace et sont souvent utilisées pour mener des expériences scientifiques, valider des instruments spatiaux et former des astronautes avant un vol spatial. Au total, elle aura effectué 30 paraboles par vol, avec jusqu'à 22 secondes de microgravité à chaque fois.
Sous l'eau, les astronautes apprennent à s'aventurer à l'extérieur d'un vaisseau spatial tout en portant des combinaisons spatiales, afin de se préparer à d’éventuelles réparations critiques et à l’installation de nouveaux équipements sur la Station spatiale internationale (ISS).
Sophie Adenot lors d'une sortie extravéhiculaire dans l'installation de flottabilité neutre (NBF) de l'ESA, en compagnie d'Hervé Stevenin, instructeur des sorties dans l'espace et responsable de l'entraînement aux sorties extravéhiculaires du centre européen des astronautes.
Cette mosaïque d'images du pôle sud du Soleil, prises par la sonde Solar Orbiter, montre une multitude de minuscules jets de matière. Ces événements pourraient constituer le mécanisme longtemps recherché à l'origine du vent solaire, le flux constant de particules chargées émises par le Soleil et qui traversent le système solaire. Les images sont négatives : autrement dit, bien qu'ils apparaissent comme des traces sombres sur ces clichés, devant la surface du Soleil, les jets constituent en réalité des éclairs lumineux.
Le cœur de M13, le Grand Amas d'Hercule.
Cette image recadrée capturée par le télescope spatial James Webb fait partie de l'étude Cosmic Evolution Early Release Science (CEERS), qui a permis de révéler certains des trous noirs et galaxies les plus anciens jamais observés.
Avant l'image de Fomalhaut prise par le JWST, les autres télescopes ne pouvaient voir que la ceinture extérieure, comme sur cette image prise en 2012 par l'observatoire spatial Herschel de l'Agence spatiale européenne.
Alors que l'on pensait que Fomalhaut b était une planète, les chercheurs pensent aujourd'hui qu'il s'agit d'un nuage de poussière issu d'une collision entre deux objets protoplanétaires de 200 kilomètres de large. Le « grand nuage de poussière » récemment découvert pourrait être le résultat d'une telle collision, mais entre deux objets beaucoup plus grands. Selon une autre théorie, il s'agirait d'une « galaxie d'arrière-plan qui nous jouerait des tours, et qui se situerait juste derrière l'anneau extérieur. Une observation complémentaire devrait nous aider à trancher », écrit András Gáspár, de l’Université de l'Arizona à Tucson et auteur principal du nouvel article.
Ce que l'on pensait être une exoplanète massive, Fomalhaut b (dans l'encadré), a été capturé en lumière visible par le télescope spatial Hubble, en 2008. Le JWST ne l'a cependant pas détectée dans l'infrarouge moyen ; il s'agissait donc probablement d'un nuage de poussière provenant d'une collision entre deux mini-planètes.