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Page du photographe
Angel Fitor
Des morceaux de matière organique flottent derrière ce copépode calanoïde. En pleine mer, tout (aussi bien les minuscules copépodes comme celui-ci que des animaux immenses comme les baleines) finit par se décomposer et par devenir de tels fragments.
Avec son corps fluide et délicat, cette tornaria d’hémichordé (Enteropneusta) est une élégante nageuse.
Un ver planctonique (à gauche) s’apprête à fouetter un crustacé avec sa queue afin de protéger ses œufs. Ce type de ver devient bioluminescent lors de l’essaimage et de la ponte.
Ces deux phéodaires, qui mesurent moins de 1 millimètre de diamètre, dérivent chacun dans sa propre gouttelette. Celui de gauche est accompagné d’un essaim de copépodes (de minuscules crustacés). Les phéodaires sont un type de protiste unicellulaire : ils ne sont ni des animaux, ni des plantes, ni des champignons. Leur noyau mou est enveloppé d’un squelette protecteur fait de silice cristalline, qui peut prendre une variété étonnante de formes et de textures, telles que hérissée et ronde, ou lisse et conique.
Ce sapphirina brille comme la pierre précieuse à laquelle son nom fait référence. Selon les scientifiques, l’iridescence du crustacé l’aide à attirer des partenaires potentiels, mais l’ampleur réelle du « langage secret des sapphirinas » demeure un mystère, selon Angel Fitor.
Dans quatre à six ans, cette ophiure sera peut-être aussi grande qu’une assiette. À l’état de larve, comme elle est photographiée ici, elle ne mesure toutefois qu’à peine plus de 1 centimètre de long. L’animal restera suspendu dans la colonne d’eau jusqu’à ce qu’il soit assez grand pour couler au fond de la mer.
Le photographe Angel Fitor a capturé ces zooplanctons lors d’une nuit étoilée dans la mer Méditerranée, au large des côtes espagnoles. Les minuscules animaux se dirigeaient vers la surface de l’eau pour se nourrir.
Les rois de l'adaptation
Pour les cichlidés, le monde entier est une scène. Ce mâle a transporté 20 kg de sable, bouchée après bouchée, pour construire une tonnelle circulaire de 66 cm de large. Au petit matin, quand ses écailles reflèteront la lumière du soleil, il dansera vigoureusement dans l'espoir d'attirer une compagne. Des dizaines d'autres spécimens feront de même.
Les mâles se battent pour une coquille par un combat bouche à bouche. Les cichlidés qui se battent bloquent les mâchoires jusqu'à ce que l'un d'eux se fatigue et abandonne. Les cichlidés sont constamment en alerte ; les photographier signifie passer des heures immobiles dans l'eau. « J'ai passé des semaines entières à attendre devant un coquillage qu'un poisson se présente », raconte Fitor. « Ça frise la folie, je sais ! »