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Madeleine Hordinski
Swanson a adopté les trois chats de l’étude initiale sur les hormones et la thérapie génique. Catalina, à gauche, et Antilles sont toujours avec lui. Ces trente dernières années, il s’est concentré sur l’étude de la biologie de la reproduction des chats domestiques et des espèces de chats sauvages de petite taille menacées d’extinction, afin d’améliorer la gestion de leurs populations et leur conservation, ainsi que pour étudier des approches non chirurgicales de stérilisation des chats sauvages.
Vansandt, à gauche, et son équipe procèdent à une échographie sur une chatte enceinte, nommée Leia en hommage à la princesse de l’univers de Star Wars. Les chats domestiques partagent avec tous les félins non domestiques une lignée génétique issue d’un ancêtre commun datant d’il y a 11 millions d’années. Ils constituent donc d’excellents sujets pour étudier la physiologie de la reproduction de toutes les espèces de félins, allant des jaguars aux tigres.
Lindsey Vansandt, directrice du programme « Imperiled Cat Signature », prend le temps de jouer avec les chats qui participent à l’étude de thérapie génique du zoo. Elle et les autres chercheurs s’efforcent d’améliorer la vie des chats sauvages et de réduire le nombre d’animaux euthanasiés dans les refuges chaque année. « Nous savons que ces chats ont des vies plus difficiles et plus courtes que les chats d’intérieur », écrit-elle. « Les experts en bien-être animal considèrent depuis longtemps la stérilisation comme l’une des meilleures solutions pour réduire humainement leur niveau de population. »
Voici quelques-unes des 21 chattes domestiques du Center for Conservation and Research of Endangered Wildlife (CREW) du Cincinnati Zoo and Botanical Garden qui ont participé à l’étude sur la thérapie génique. C’était la première fois qu’une stérilisation était pratiquée à l’aide d’une injection unique plutôt que par une anesthésie générale suivie d’une intervention chirurgicale.