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Page du photographe
Max Alguilera-Hellweg
Les diapositives de l'étude contiennent des microtranches de poumon, de cœur, de foie, de cerveau, de pancréas et de rein (de haut en bas) provenant de porcs participant à la recherche. Le tissu rénal présente relativement peu de décomposition ou de signes révélateurs de la mort, et ce même des heures après celle-ci.
Des chercheurs ont conservé les tissus d'organes de porc dans de la cire de paraffine, puis ont découpé des échantillons et les ont placés sur des lames de verre afin de les examiner au microscope, à la recherche des changements cellulaires post-mortem bien connus et facilement identifiables.
Une salle d'opération du laboratoire de recherche de l'école de médecine de Yale où, au cours d'une expérience visant à ralentir la mort cellulaire, le cœur d'un porc s'est mis à battre spontanément, plusieurs heures après l'heure du décès. L'écran montre des images fluoroscopiques d'un cerveau de porc (à gauche), et d'un cœur de porc et d'une cavité thoracique (à droite).
Une équipe de chercheurs de l'université Yale est parvenue à réanimer partiellement des cellules cérébrales de cochon quelques heures après leur mort. Sur cette photo, l'un des chercheurs tient un cerveau de cochon à côté d'une poche d'hémoglobine sursaturée et d'une poche d'OrganEx, la solution bleue, qui contribue à ralentir la mort cellulaire.