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Page du photographe
Pascal Maitre
Les grappes de fruits du palmier à huile sont récoltées à la main puis transportées par camion jusqu'à un moulin en Malaisie continentale, où elles sont transformées. Les forêts anciennes des régions tropicales sont abattues pour faire place aux plantations d'huile de palme. Lorsque ces forêts disparaissent, le carbone qu'elles retenaient enfermé dans leurs tissus est libéré dans l'atmosphère, contribuant ainsi au réchauffement climatique.
Les dirigeants talibans se sont engagés dans un premier temps à protéger le patrimoine culturel afghan. Mais, frustrés par le manque de reconnaissance internationale et la multiplication des sanctions américaines à leur égard, ils sont revenus sur leur parole en 2001.
Pendant des siècles, touristes, archéologues et pèlerins se sont pressés sur le site des Bouddhas de Bâmiyân. La vallée toute entière, qui abrite des grottes ornées et des monastères bouddhistes, est inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO.
Lorsque le photographe Pascal Maitre s'est rendu dans la vallée de Bâmiyân en 1996, les Bouddhas avaient déjà fait les frais des longs conflits. Criblés de trous et morcelés, ils étaient malgré tout encore debout.
Cette peinture murale, réalisée dans une grotte située non loin des Bouddhas de Bâmiyân, date de l’époque à laquelle des moines bouddhistes vivaient dans la région. Certaines de leurs œuvres figurent parmi les plus anciennes peintures à l’huile connues au monde.
Le plus imposant des deux Bouddhas de Bâmiyân était encore intact lorsque le photographe Pascal Maitre s'est rendu dans la vallée afghane en 1996. Cinq ans plus tard, il y a tout juste vingt ans, les deux sculptures ont été détruites par les talibans.
Des migrants rentrent chez eux, au Niger, après avoir essayé de trouver du travail en Libye. Leur pays d'origine est l'un des plus pauvres d'Afrique, mais ceux qui essaient de trouver du travail ailleurs sont souvent confrontés à une forte xénophobie.
L'avenue des Baobabs, près de Morondava, est protégée depuis 2007. Cette avenue est tout ce qu’il reste d'une forêt autrefois épaisse, défrichée pour satisfaire des besoins agricoles.
Un convoi de pick-up surchargés de Nigériens et d'autres ressortissants de pays africains s'élance pour un voyage de trois jours depuis la ville d'Agadez, au Niger, à travers le Sahara jusqu'en Libye. De nombreux migrants ont l'intention de travailler une fois arrivés, d'autres espèrent atteindre l'Europe.
Les acheteurs choisissent leurs bêtes au marché de bétail avant de les envoyer dans cet abattoir d'Agadez, au Niger, où les chameaux, chèvres, moutons et autres animaux sont tués puis expédiés aux bouchers qui vendent leur viande.