Magazines
Télévision
Disney+
National Geographic
National Geographic
National Geographic
Histoire
Santé
Animaux
Sciences
Environnement
Voyage® & Aventure
Recherche
fermer
Menu
Explorer
Histoire
Santé
Animaux
Sciences
Environnement
Voyage® & Aventure
Livres
SVOD
Photo du jour
Nat Geo Famille
Perpetual Planet
Photographie
VIDÉOS
S'ABONNER
Magazines
Magazines
Disney+
Disney+
Encore plus de National Geographic
Thématiques, auteurs et photographes
TÉLÉVISION
Nos chaînes
S'ABONNER
Magazines
Magazines
Disney+
Disney+
Règles de respect de la vie privée
Conditions d'utilisation
Règles européennes de respect de la vie privée
Les Cookies
Gestion des Cookies
À Propos
Opt-out IA - Opposition Disney
fermer
Histoire
Santé
Animaux
Sciences
Environnement
Voyage® & Aventure
Page du photographe
Sara Hylton
Des trieurs divisent les articles en plastique par couleur avant de les envoyer dans d'autres villes pour qu'ils soient transformés en granulés.
Dans la vallée de Hunza, au Pakistan, des équipes féminines de football originaires des villages alentour entrent sur le terrain pour disputer un tournoi. Ce cliché figurait dansun article paru en ligne en février 2019.
Babu Sahni, un pêcheur de 30 ans, et son fils Himanshu Kumar Sahni, 8 ans, accostent à une rive de la Punpun, un affluent du Gange. Dans l’Inde rurale, le ramassage des déchets est rare et les décharges sauvages, comme celle-ci, sont courantes.
À Patna, une barque navigue sur le Gange près d’une voie rapide récemment construite. Le développement accéléré du pays a fait exploser la consommation de plastique, dont l’Inde est désormais l’un des plus grands producteurs mondiaux.
Des tanneurs font sécher des peaux sur des poteaux en bois, au bord d’un canal à Kolkata. Celui-ci charrie des déchets industriels et plastiques, ainsi que d’autres polluants vers le delta du Gange et le golfe du Bengale.
À Rishikesh, une femme trie les déchets plastiques à la main, à la recherche des plus précieux, comme les bouteilles en polyéthylène téréphtalate (PET), facilement recyclables. Grâce à ces collecteurs de déchets, le taux de recyclage du plastique de l’Inde est bien plus élevé que celui des États-Unis.
Une décharge à Patna illustre un problème omniprésent dans le bassin du Gange : du fait de l’absence de collecte adéquate des déchets, les plastiques sont éparpillés et entraînés, avec d’autres détritus, vers le fleuve par la mousson.
Des festivaliers portent une représentation de la déesse de la guerre Durga dans les rues d’Howrah, près de Kolkata, durant le festival Durga Puja. Celui-ci s’achève par l’immersion des idoles dans la rivière locale – ici, l’Hooghly. Le plastique est désormais interdit dans de nombreux temples.
Les habitants du bassin du Gange utilisent des escaliers tels que ceux de Chandi Ghat, à Haridwar, pour atteindre le fleuve et s’y baigner. La croyance hindoue dans les pouvoirs purificateurs du fleuve attire des millions de pèlerins chaque année, y compris pendant la pandémie de Covid-19.
Sita Ram Sahni (assis), 70 ans, et son neveu Vinod Sahni, 50 ans, posent devant leur maison sur la rive nord du Gange, dans le Bihar. La famille pêche dans le fleuve depuis plus de cinquante ans. Autrefois en coton, leurs filets sont désormais en Nylon.