Sommaire du magazine National Geographic du mois d'avril 2022 : Expédition scientifique aux confins du Venezuela
Expédition en Amérique du Sud
Depuis toujours, la recherche et l’exploration sont dans l’ADN de National Geographic : découvrir des terres inexplorées, comprendre et révéler les mystères de la planète pour mieux la protéger, repousser les limites de l'exploration pour assurer à l'humanité un avenir durable. Fidèle à sa vocation, c'est ce que ce magazine vous propose ce mois-ci.
Expédition scientifique aux confins du Venezuela
Suivez la folle aventure des explorateurs Bruce Means et Mark Synnott qui se sont rendus dans un coin reculé et quasiment inaccessible d'Amérique du Sud. Leur mission : identifier de nouvelles espèces et percer les secrets de l'évolution sur un plateau rocheux, vestige d'un plateau primitif qui s'est érodé durant des millions d'années, appelé « tepui » par les populations locales. C'est dans une région très difficile d'accès, au-dessus de la forêt tropicale amazonienne, à la frontière entre le Guyana, le Brésil et le Venezuela qu'ils ont atteint leur objectif.
Les hippocampes, ces êtres étranges et captivants qui semblent issus d'un croisement entre différents animaux, réveillent notre imaginaire et nous ramènent au merveilleux des contes de notre enfance. Mais au fil de notre article, vous constaterez qu'il reste beaucoup à apprendre
sur ces poissons hors du commun, notamment que 46 espèces ont été identifiées dans le monde, révélant ainsi toute leur diversité, mais aussi qu'ils sont aujourd’hui menacés.
Découvrez également des sujets préoccupants pour notre planète, en particulier l’article très documenté sur la pollution du Gange. Plus de 6 200 t de déchets plastiques seraient charriés chaque année par ce fleuve sacré et vénéré de l’Inde, désormais source majeure de pollution maritime.
Puis destination Cuba, où la passion des Cubains pour les oiseaux chanteurs est sans limite. Depuis 2011, une loi sur la diversité biologique interdit de capturer nombre de passereaux sans autre motif que la recherche scientifique. Pourtant la tradition perdure.
Enfin au Ghana, la pêche est pratiquée de manière responsable afin de préserver les moyens d'existence de tous. C'est une tradition qui forge les communautés côtières et leur respect de la nature et du partage. Ainsi, l'étranger est toujours bien accueilli, c'est même un des fondements philosophiques de leur culture.
Enquêtes inédites et actualités scientifiques vous attendent dans le numéro d'avril 2022 du magazine National Geographic :
Le monde secret des tépuis
Découverte de nouvelles espèces au coeur de la forêt amazonienne. Depuis des milliers d’années, nombre de plantes et d’animaux y vivent isolés des autres espèces.
Étranges et merveilleux hippocampes
Les hippocampes peuplent les eaux côtières un peu partout dans le monde. Tous pâtissent de la surpêche et de la perte de leur habitat.
Le Gange, aussi sacré que pollué
Fleuve vénéré de l’Inde, le Gange est aussi une source majeure de pollution des océans.
Le prix du chant
Malgré la loi cubaine interdisant la capture des oiseaux chanteurs, ceux-ci sont sont capturés et vendus illégalement. Des espèces très prisées sont souvent exposées dans les rues et les maisons.
Les peuples de la mer
Dans les eaux agitées d'Afrique de l'Ouest, la pêche demeure une tradition responsable qui unit les communautés.