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Page du photographe
Florian Schulz
De la même manière, la fonte de la glace dans l'Arctique pourrait pousser les ours polaires (Ursus maritimus, comme cette femelle avec ses petits) plus au sud, à la recherche de nourriture.
Pour la première fois au monde, un ours blanc est mort de la grippe aviaire en Alaska en 2023. Ces prédateurs, à l’instar de cette famille photographiée dans le refuge faunique national de l’Arctique, sont déjà confrontés à de nombreuses menaces, et notamment le recul de la banquise.
Au printemps, les rennes transhument vers la plaine côtière de la réserve. Pendant plusieurs semaines, ils se nourrissent de l’herbe de la toundra et mettent bas. Mais ils doivent aussi échapper aux moustiques et aux prédateurs, dont les chasseurs autochtones, pour qui le renne reste une ressource vitale.
Une ourse polaire et ses petits inspectent une langue de terre qui s'avance dans la mer de Beaufort. Ils attendent que l'eau gèle suffisamment pour pouvoir y chasser les phoques, leur principale source de nourriture. Avec le rapide réchauffement du climat, la banquise diminue, contraignant les ours blancs à se nourrir de déchets à terre. La population d'ours blancs de la mer de Beaufort méridionale a diminué de 40 %.
Au printemps et à l’été, la plaine côtière du Refuge faunique national d’Arctique (Arctic National Wildlife Refuge) est envahie de rennes tandis que l’hiver, les ours polaires y creusent leur tanière. Le sous-sol de cette vaste étendue pourrait receler des milliards de barils de pétrole.
Cette photo du champ pétrolifère de Prudhoe Bay, situé à l’ouest du Refuge faunique national d’Arctique, illustre ce à quoi ressemble la production de pétrole dans le North Slope de l’Alaska. Couvrant une superficie de 86 hectares, il s’agit du plus grand champ pétrolifère d’Amérique du Nord. À l’origine, environ 25 milliards de barils de pétrole se trouvaient dans le sous-sol. La chaîne Brooks est visible à l’horizon.
Le bœuf musqué à droite martèle le sol pour défendre son harem contre un rival. L'espèce a disparu du North Slope de l'Alaska au XIXe siècle, puis a été réintroduite en 1969 dans ce qui deviendrait l'Arctic National Wildlife Refuge. De petits troupeaux en arpentent désormais la plaine côtière.
Une ourse blanche et ses petits inspectent une langue de terre qui s'avance dans la mer de Beaufort. Ils s'attendent que l'eau gèle assez pour pouvoir y chasser les phoques — leur principale source de nourriture. La banquise diminue avec le rapide réchauffement du climat, contraignant les ours blancs à se nourrir de déchets à terre. La population d'ours blancs de la mer de Beaufort méridionale a diminué de 40 %.
Au printemps, les rennes transhument vers la plaine côtière de la réserve — là, où se trouverait du pétrole. Pendant six semaines, ils y broutent la toundra et mettent bas. Mais ils doivent aussi échapper aux moustiques et aux prédateurs, dont les chasseurs autochtones, pour qui le renne reste une ressource vitale.
Deux bœufs musqués baguenaudent dans un paysage vierge de toute trace humaine. Les monts Sadlerochit se dressent au loin. L'Arctic National Wildlife Refuge est l'une des plus vastes aires protégées des États-Unis, et l'un des endroits les plus sauvages de la Terre... jusqu'à présent.