Magazines
Télévision
Disney+
National Geographic
National Geographic
National Geographic
Histoire
Animaux
Sciences
Environnement
Voyage® & Aventure
Histoire
Animaux
Sciences
Environnement
Voyage® & Aventure
Page du photographe
Schmidt Ocean Institute
L'écologiste marin Christian Aldea examine une étoile de mer au microscope dans le laboratoire du navire de recherche Falkor (too).
Cette méduse fantôme géante peut atteindre une taille gigantesque : son ombrelle peut dépasser le mètre de diamètre, tandis que ses quatre bras peuvent s'étirer sur plus de 10 mètres de long.
Une pieuvre repose sur le fond marin à 1 130 mètres de profondeur dans la mer de Bellingshausen, au large de l'Antarctique. L'écosystème abrite plusieurs ravines sous-marines.
Une grande éponge, un groupe d'anémones et d'autres formes de vie à près de 230 mètres de profondeur, dans une zone du fond marin qui, jusqu'à très récemment, était recouverte par la plateforme de glace George VI, un glacier flottant de l'Antarctique. Les éponges grandissent généralement très lentement, parfois de moins de 2 centimètres par an. La taille de ce spécimen suggère donc que cette communauté est active depuis des décennies, voire des siècles.
Large amas de vers tubicoles sur la dorsale est-Pacifique, à 2 500 mètres de profondeur. À l’aide d’un robot adapté aux grands fonds, des chercheurs ont fouillé sous les cheminées hydrothermales et ont mis au jour une série de chambre souterraines servant de pépinières à vers tubicoles ainsi qu’un conduit permettant à leurs larves de se déplacer entre les cheminées.
Sous cet échantillon de croûte rocheuse se cachaient des spécimens de vers tubicoles des espèces Oasisia et Riftia, entre autres organismes.
Une loquette passe devant une tour de vers tubicoles près de la cheminée de Tica, située sur la dorsale est-Pacifique à 2 500 mètres de profondeur.
Lors d'une récente expédition, une équipe de scientifiques a découvert cette nouvelle espèce de crapaud de mer sur un mont sous-marin au large du Chili. Les crapauds de mer sont des prédateurs embusqués, qui utilisent la ruse pour approcher leurs proies avant de les attaquer.
Cette pieuvre non identifiée, qui appartiendrait à une nouvelle espèce, a été aperçue à environ 3 000 mètres de profondeur.
L’excitation était à son comble dans la salle de contrôle lorsque l’équipe de recherche a vu la première pieuvre de l’expédition de juin dernier.