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Page du photographe
Tim Lamán
À l’aide d’une corde, Raul Mendez grimpe jusqu’à un nid pour secourir un oisillon risquant d’être braconné. Il le place dans un seau afin de l’acheminer vers le sol.
Au Mexique, les populations d’aras rouges déclinent à cause de la destruction de la forêt tropicale et du braconnage. Il reste un millier de ces oiseaux environ dans la nature.
Les aras rouges, une espèce monogame, peuvent vivre jusqu’à 50 ans.
Des petits aras rouges élevés à la station biologique jusqu’à ce qu’ils soient assez grands pour survivre par eux-mêmes dans la nature.
La dernière population saine d’aras rouges (Ara macao cyanopterus), une espèce menacée d’extinction, vit dans la Réserve de biosphère de Montes Azules, au Mexique.
Un argus géant mâle, l’une des plus grandes espèces de faisans du monde – ils peuvent mesurer jusqu’à 2 m, du bec à l’extrémité de la queue –, courtise une partenaire potentielle lors d’une parade où il déploie ses ailes au plumage ocellé. Les mâles écartent les feuilles et les brindilles du sol avant leur performance.
Une brume matinale descend sur la forêt tropicale humide du mont Palung. Les neuf biomes forestiers du parc national s’étagent en fonction du relief, depuis la mangrove et les forêts de tourbières jusqu’aux forêts d’altitude.
La Voie lactée apparaît dans une trouée de la canopée. Les forêts tropicales humides de Bornéo datent de plusieurs millions d’années et figurent parmi les plus diversifiées de la planète sur le plan biologique. Elles abritent des milliers d’espèces que l’on ne trouve que sur l’île.
Camouflée dans les feuilles, une grenouille cornue asiatique bénéficie d’un avantage sur les insectes qu’elle chasse. Son cri caractéristique résonne dans la multitude de bruits de la forêt humide. Si on trouve cette grenouille sur des îles voisines, plus de 70 % des espèces d’amphibiens de Gunung Palung ne vivent qu’à Bornéo.
Près des énormes contreforts d’un Dialium, les chercheurs (de gauche à droite) Zakaria, Ari Marlina et Sahril Ramadani recueillent des données sur les orangs-outans dans la canopée. Créé en 1994, le projet Gunung Palung Orangutan étudie l’habitat des grands singes et leurs réponses aux fluctuations de leur alimentation.