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Page du photographe
Bridgeman
Tableau du 16e siècle sur lequel figure Poppée Sabine, seconde épouse de Néron.
Cette photographie montre l’intérieur de la Tombe F, la première à avoir été découverte dans la nécropole du Vatican en 1939. Près de la sépulture païenne d’un chef de troupe de théâtre gisent les restes d’Emilia Gorgonia, jeune chrétienne du quatrième siècle. Sur son épitaphe, on peut lire Dormit in Pace, forme archaïque de Resquiescat in Pace, c’est-à-dire Repose en paix.
Nommé « confessio », ce renfoncement permet aux fidèles permet de voir la section située sous le grand autel où se trouverait la tombe de Pierre. Pendant des siècles, on a vénéré la niche centrale des Palliums (sur le mur opposé du confessio) pour sa proximité avec la tombe de Pierre, une structure que des documents hérités du christianisme primitifs désignent sous le nom de trophée de Gaïus mais dont la localisation précise avait été perdue. À la suite de fouilles réalisées dans les années 1940, une structure que l’on croit être le trophée de Gaïus fut découverte immédiatement sous la niche.
Casanova, portraituré ici dans sa jeunesse, adorait prendre part aux évènements sociaux et aux spectacles organisés à Venise.
La plus célèbre photo de Nessie, qui s’avéra un faux, fut publiée en 1934 par le Daily Mail, journal londonien, sous la Une suivante : « Le Monstre pris en photo par un chirurgien de Londres ».
Cette statuette en bronze du sixième siècle représente une athlète. Les femmes de Sparte jouissaient d’une liberté supérieure à celle des femmes d’autres cités grecques.
La stoa des Perses, financée grâce au trésor de guerre amassé lors de la bataille de Platées, était l’un des seuls monuments de Sparte, qui était autrement très sobre. En s’appuyant sur les descriptions qu’en donnent les auteurs classiques Vitruve et Pausanias, l’artiste Joseph Michel Gandy peignit cette reconstitution au début du 19e siècle.
Le Circus Maximus, à Rome, tel qu’imaginé par l’illustrateur Alan Sorrel, avec l’obélisque d’Auguste placé au centre de la spina.
Un des reliefs les mieux préservés de Nemrut Dağ est un lion mâle dont les ornements sont susceptibles de contenir un message caché. Les dix-neuf corps célestes disposés tout autour correspondent à la constellation du lion. Le plastron du lion pourrait représenter le croissant de lune. Immédiatement au-dessus se trouve l’étoile Régulus associée à la royauté. Les « étoiles » brillantes à seize branches au-dessus du dos du lion sont les planètes Mars, Mercure et Jupiter. Ces configurations suggèrent que la commémoration d’un événement spécifique. Selon certains spécialistes, il s’agirait d’une conjonction planétaire qui aurait eu lieu le 14 juillet de l’an 109 avant notre ère, jour du couronnement de Mithridate Ier. Selon d’autres spécialistes, cela pourrait représenter d’autres événements, comme le couronnement du fils de Mithridate, Antiochos, ou bien un moment important de la construction du site.
Germanicus ordonne de récupérer les dépouilles des soldats romains et les bannières des légions détruites par Arminius et ses hommes dans la forêt de Teutoburg, afin de leur offrir une sépulture digne.