Magazines
Télévision
Disney+
National Geographic
National Geographic
National Geographic
Histoire
Animaux
Sciences
Environnement
Voyage® & Aventure
Histoire
Animaux
Sciences
Environnement
Voyage® & Aventure
Page du photographe
Emory Kristof
Intérieur d'une cabine de première classe du RMS Titanic. Les corps présents dans l'épave ont récemment franchi le seuil d'un siècle à partir duquel ils peuvent être considérés comme des éléments « historiques ». L'épave a cependant toujours l'aura d'un lieu de sépulture.
Structure métallique d’un banc qui se trouvait sur le pont du R.M.S. Titanic et qui gît sur le plancher océanique. Depuis que ce cliché a été pris en 1991, une partie du garde-corps de la proue l’a rejointe.
Intérieur d’une cabine de première classe du R.M.S.Titanic photographiée en 1991 et couverte de rouille ; deux hublots sont ouverts. Les humains contribuent eux aussi à la détérioration de l’épave, car le tourisme et les expéditions scientifiques interfèrent avec le site.
Le garde-corps de la proue du R.M.S. Titanic photographié du dessus en 1991. Des scientifiques ont découvert sur le navire la présence abondante de bactéries pouvant corroder le métal.
Dans les décennies qui se sont écoulées depuis la découverte de l’épave du R.M.S. Titanic dans l’Atlantique Nord, la condition de l’épave s’est détériorée (corrosion par la rouille, communautés de microbes). Récemment, un pan du garde-corps de sa proue emblématique est tombé sur le plancher océanique.
Le Titanic se dégrade depuis plus d'un siècle : des structures importantes se sont effondrées alors que des bactéries mangeuses de fer dégradent la coque. Les visites touristiques du navire risquent d'accélérer cette détérioration.
Photographiée en 1964 pour National Geographic, une équipe dirigée par des archéologues norvégiens est à la recherche d’artefacts vikings sur le site de L’Anse aux Meadows, sur l’île de Terre-Neuve.
À presque 3 800 m de fond, la proue du Titanic surgit des ténèbres, couverte de « rusticules », sortes de stalactites orange dues aux bactéries se nourrissant de fer.
Sur cette vue aérienne de 1967, un parterre de baigneurs se relaxe sous les parasols ou sur les serviettes de plage à Ocean City, dans le Maryland.
Des plongeurs traînent un appât contenant du sang de vache à travers le Loch Ness en Écosse dans l'espoir d'attirer le célèbre monstre qui habiterait le lac, Nessie. Bien qu'il n'existe que peu ou pas de preuve scientifique de l'existence de créatures telles que le monstre du Loch Ness, Bigfoot ou l'homme-papillon, nombreux sont les passionnés à mener toujours l'enquête.