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Page du photographe
Jackie Molloy
Pendant des décennies, l’indice de masse corporelle (IMC) a été utilisé pour déduire l’état de santé des individus. Il ne tient toutefois pas compte de facteurs tels que la pratique sportive, le taux de cholestérol et la tension artérielle. Une étude réalisée en 2016 a révélé que plus de la moitié des personnes catégorisées comme étant en surpoids présentaient des résultats médicaux normaux.
Sarah McKnight aide sa fille à enfiler son tutu, en tenant son fils sur ses genoux. « J’ai décidé de ne pas laisser la pandémie m’empêcher d’avoir un autre bébé, raconte-t-elle. J’étais à la maison de toute façon, alorsj’ai pensé que c’était le moment de réessayer. »
Susie Troxler, 52 ans, et son mari, Tony, 63 ans, avec leur fille, Lily, dans leur jardin à High Point, en Caroline du Nord. Après avoir tenté pendant des années d’avoir un enfant, ils ont appris les problèmes d’infertilité de Tony. Susie étant près de la cinquantaine, elle a eu recours à un don d’ovocytes et Tony à un prélèvement de son sperme
Tania Dimitrova tire son lait en consultant ses e-mails, après avoir couché Deva, à New York. Comme elle travaille dansle secteur médical, elle était bien informée sur les options en matière de procréation assistée, ce qui lui a permis de choisir en confiance l’insémination artificielle avec don de sperme.
Un mois après son accouchement, Tania Dimitrova, 41 ans, câline sa fille, Deva, au moment de la têtée de 2 heures du matin. Mère célibataire par choix, elle estime qu’« être au courant de l’évolution de la technologie aidera les femmes à concevoir plus tard, à avoir une carrière et à choisir le bon partenaire ».
Parents sur le tard
L’aube d'une nouvelle vie. New-York, États-Unis. À New York, au plus fort de la pandémie, Kimberly Bonsignore a appris que l’hôpital où elle devait accoucher n’autorisait pas les visites de la famille. Elle a donc choisi d’avoir son bébé à la maison, aux côtés de son mari et de son dernier-né, avec l’aide d’une sage-femme, Cara Muhlhahn, et d’une doula, Angelique Clarke. Celle-ci a aménagé un bassin d’accouchement dans le salon familial et a envoyé un SMS à la sage-femme lorsque la mère a perdu les eaux. Suzette est née en moins de deux heures. Au départ, le bébé ne réagissait pas. Muhlhahn lui a alors pratiqué une réanimation cardio-pulmonaire, et il a émis un gémissement.
Parfois, la vie n'attend pas. Kim Bonsignore avait prévu d'avoir son deuxième enfant fin avril dans un hôpital à proximité de Manhattan, où elle habite. Face à l'impact du coronavirus sur les hôpitaux, elle a changé d'avis et a donné naissance à sa fille, Suzette, dans son salon. D'après les experts, la pandémie et l'incertitude économique peuvent décourager les couples d'avoir des enfants à l'heure actuelle.