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Clement Clarke Moore (à gauche) a prétendu avoir écrit ce poème, mais certains chercheurs et descendants du fermier et poète hollandais Henry Livingston Jr (à droite) affirment que ce dernier en est le véritable auteur. La controverse porte sur les souvenirs des enfants de Livingston et sur la question de la personnalité. Les passionnés de Livingston prétendent qu'un intellectuel apparemment barbant et sans humour comme Moore n'aurait jamais pu imaginer un Saint-Nicolas aussi avenant et affirment que les racines hollandaises de Livingston pourraient avoir influencé les traditions décrites dans le poème. Bien que la théorie de Livingston tienne la route pour ses descendants, gagnant même un procès fictif à New York sur cette question, Livingston n'en a jamais revendiqué la paternité de son vivant. Nous ne saurons donc sans doute jamais qui a écrit ce poème, sauf si de nouvelles preuves émergent et permettent pour prouver de manière concluante que le fermier en est l’auteur.
Clement Clarke Moore (à gauche) a prétendu avoir écrit ce poème, mais certains chercheurs et descendants du fermier et poète hollandais Henry Livingston Jr (à droite) affirment que ce dernier en est le véritable auteur. La controverse porte sur les souvenirs des enfants de Livingston et sur la question de la personnalité. Les passionnés de Livingston prétendent qu'un intellectuel apparemment barbant et sans humour comme Moore n'aurait jamais pu imaginer un Saint-Nicolas aussi avenant et affirment que les racines hollandaises de Livingston pourraient avoir influencé les traditions décrites dans le poème. Bien que la théorie de Livingston tienne la route pour ses descendants, gagnant même un procès fictif à New York sur cette question, Livingston n'en a jamais revendiqué la paternité de son vivant. Nous ne saurons donc sans doute jamais qui a écrit ce poème, sauf si de nouvelles preuves émergent et permettent pour prouver de manière concluante que le fermier en est l’auteur.
Cette illustration a été produite pour une édition de 1893 du poème de 1823 intitulé « A Visit From St. Nicholas » (La visite de Saint-Nicolas), dont l’auteur serait Clement Clarke Moore.
Le danseur chinois Chun Wai Chan dans le rôle du Cavalier dans une production du Ballet de New York de 2021.
Piotr Illitch Tchaïkovski, ici sur un portrait de 1893, composa la plus grande partie de Casse-Noisette alors qu’il voyageait entre la Russie, la France et les États-Unis. Le 27 juin 1891, de retour à Saint-Pétersbourg, il affirma dans une lettre avoir terminé le ballet « avec une hâte fiévreuse et dans un doute constant » concernant ses capacités et son talent d’auteur.
À Rome, nombreux sont les lieux liés aux Borgia. À côté de la piazza Campo de Fiori se trouve l’un des nombreuses auberges autrefois détenues et gérées par Vannozza Cattanei, mère des enfants du pape Alexandre VI. La façade arbore le blason des Borgia. Plus à l’ouest, vers le Colisée, se trouvent l’escalier que les frères et sœurs grimpaient pour aller rendre visite à leur mère dans sa maison située près de la basilique Saint-Pierre-aux-Liens. Après un dîner de famille à l’été 1497, Giovanni Borgia descendit ces marches une dernière fois avant d’être assassiné.
Tableau du 16e siècle sur lequel figure Poppée Sabine, seconde épouse de Néron.
Ce buste en marbre à l’effigie de Néron fut sculpté en l’an 60 quand le souverain, qui avait alors une vingtaine d’année, jouissait encore d’un soutien populaire. Désormais exposé aux Musées du Capitole, il fut restauré au 17e siècle.
Cette photographie montre l’intérieur de la Tombe F, la première à avoir été découverte dans la nécropole du Vatican en 1939. Près de la sépulture païenne d’un chef de troupe de théâtre gisent les restes d’Emilia Gorgonia, jeune chrétienne du quatrième siècle. Sur son épitaphe, on peut lire Dormit in Pace, forme archaïque de Resquiescat in Pace, c’est-à-dire Repose en paix.
Nommé « confessio », ce renfoncement permet aux fidèles permet de voir la section située sous le grand autel où se trouverait la tombe de Pierre. Pendant des siècles, on a vénéré la niche centrale des Palliums (sur le mur opposé du confessio) pour sa proximité avec la tombe de Pierre, une structure que des documents hérités du christianisme primitifs désignent sous le nom de trophée de Gaïus mais dont la localisation précise avait été perdue. À la suite de fouilles réalisées dans les années 1940, une structure que l’on croit être le trophée de Gaïus fut découverte immédiatement sous la niche.